© Elias Djemil
Interprètes et idéatrices : Julia-Maude Cloutier et Amélie Gagnon
Ferrari en feu c’est le rythme effréné dans lequel nous vivons, l’accélération constante des vies, la pression subie par un individu dans une ère en perte de sens.
C’est la déconstruction d’actions quotidiennes, le besoin d’un carambolage joyeux comme forme de libération.
C’est un pied de nez aux attentes par rapport aux cadres établis, des rôles attendus de nous en tant qu’artiste, femme et citoyenne.
C’est aussi un travail exploratoire que nous revisitons après 5 ans, une rencontre en studio de quelques jours qui dort depuis et que nous redécouvrons aujourd’hui. Le spontané, le festif et le performatif ont été les couleurs prédominantes dès l’amorce de cette recherche et subsistent dans nos envies artistiques actuelles. Comme point de départ, des éléments simples : 2 chaises comme élément scénique, tenter le confort malgré son impossibilité, déconstruire des phrases d’actions du quotidien, se mettre en tension, trouver la joie… et se laisser beaucoup d’espace pour que tout puisse encore arriver. Le choix de partir d’une archive de travail fait sens pour nous dans l’idée de donner de l’importance à ce qui existe déjà et se questionner sur ce qui était essentiel à ce premier jet et ce qui l’est encore maintenant. Nous visons un format entre 20 et 30 minutes à la fin de cette phase de réécriture. Une diffusion est prévue dans le cadre du Festival des Premières chorégraphiques de Tunis le 10 février 2023.
Pas de dépôt de dossiers pour des résidences annuelles en ce moment
Pour déposer une demande de résidence d’interprète et d’accompagnement spécifique il faut déposer le dossier 5 mois avant la période d’accueil demandée.
3 dates butoirs : 30 janvier / 15 mai / 30 septembre
Toute compagnie accueillie en résidence doit s’acquitter des droits d’adhésion à l’association de 30 euros.
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