Dans le cadre de Bien fait ! 2020
en coréalisation avec Danse Dense et le réseau des Petites Scènes Ouvertes, avec le soutien de l’ADAMI et du mécénat de la Caisse des dépôts
> entrée libre sur réservation
Dans cette pièce, les danseurs explorent les intensités des flux de leurs mouvements. Ils tentent d’harmoniser le rythme de l’individu et celui de leur communauté, en se confrontant au rêve d’une vie à la fois solitaire et collective. Tous perçoivent le monde qu’ils sont en train de créer, fluide et fragmenté. Où se mêlent humour, tragique et éclat. Leur réalité est un lieu de jeux de puissance, de prise de pouvoir, d’émulation, d’unisson, de libération. De chacun d’eux naît des figures héroïques.
Chorégraphie : Elise Lerat
En collaboration avec les interprètes : Audrey Bodiguel, Benoît Canteteau, Christophe Jeannot, Aline Landreau et Lisa Miramond
Lumière : Pierre Bouglé
Son: Mathias Delplanque
Costumes : en cours
Accompagnement de la création : Manon Airaud (danseuse et sociologue)
Production : Allogène
Co-productions: CCN de Nantes, TU-Nantes
Ce projet reçoit le soutien de : DRAC des Pays-de-la-Loire, Conseil régional des Pays-de-la-Loire, Conseil départemental de Loire-Atlantique, Ville de Nantes
Soutiens et résidences : Coopération Nantes-Rennes-Brest pour un Itinéraire d’Artiste(s) : Au Bout du Plongeoir – Thorigné-Fouillard, Chapelle Dérézo avec le soutien de la Ville de Brest, Fabrique Bellevue-Chantenay – Nantes, Musique et Danse en Loire-Atlantique, Le Quatrain – Haute-Goulaine, CDCN La Briqueterie – Vitry-sur-Seine , Espace Cour et Jardin – Vertou, CNDC – Angers
Solo chorégraphique, cet épisode combine la grande Histoire d’un pays avec l’histoire de la danse et la trajectoire intime d’une interprète. Les ravages du kitsch sur la mémoire et sur les corps sont ici exposés avec une redoutable maîtrise technique, tout en dévoilant les traumatismes du parcours individuel.
BARBARE (zone -XIV-) / European Museum of Translation est une performance en vingt-huit épisodes. Composées en dialogue avec les vingt-huit pays de l’Union Européenne, ces épisodes se proposent d’examiner les fondements, les figures et les fantasmes de nos cultures, hier comme aujourd’hui. Solo chorégraphique, pièce de théâtre, concert, installation plastique, film, performance etc., chaque épisode (d’une durée de vingt minutes) se combine aux autres pour offrir une traversée organique, un voyage sur le vaisseau fantôme de la barbarie.
Mélodie Lasselin, chorégraphe et interprète Simon Capelle, auteur et metteur en scène Quentin Conrate, musicien
production : ZONE -poème-
co-production : Superamas (Happynest #3)
soutiens : La rose des vents Scène Nationale – Lille Métropole, Théâtre Jacques Tati – Amiens, Théâtre Massenet, Latvian Centre for Performance Art – Riga (Lettonie), Sala Hiroshima (Barcelone) I-Portunus – Creative Europe, Le Vivat d’Armentières, Institut Français + Ville de Lille, Théâtre de l’Oiseau-Mouche, DRAC Hauts-de-France, Latitudes contemporaines.
Huit danseurs alignés attendent au fond de la scène.
Chaque spectateur a une liste de 100 chansons parmi lesquelles il peut choisir la chanson qu’il préfère grâce à une application pour portable téléchargée avant le spectacle. La chanson la plus votée à chaque fois sera jouée. Chaque musique activera différentes chorégraphies: solos, duos, trios, quatuors, quintets, sextets, septets, octets. Chaque soir les interprètes ignorent les chorégraphies qu’ils vont danser, le spectacle sera toujours différent. La séquence des événements est decidée par le hasard. Les danseurs attendent leur tour, devenant ainsi un juke-box vivant.
Conception et chorègraphie : Serena Malacco
Danse : Louis-Clément da Costa, Sara Tan, Lazare Huet, Marion Peuta, María De Duenas Lopez, Alice Raffaelli, Stefano Beltrame, Ana Luisa Novais
Collaboration artistique : Attilio Marasco
Lumières : Marvin van den Berg
Régard extérieur : Caterina Piccione
Vidéo-Son countdown : Attilio Marasco-Louis Fontaine
Production et diffusion : Louisa Low
Communication : N.Y.G. Sagl
Soutiens : La Briqueterie CDCN, La Ménagerie de Verre, Versiliadanza, Università San Raffaele, Il giardino delle ore
The world was on fire est un DJ set épique mettant en scène cinq personnages féminins partant à la conquête de leur propre existence.Sur fond de sorcellerie, dans le huis clos d’unechambre aux murs de velours, l’histoire se déploie tel un long clip aux nuances sombres et anachroniques…
Conception, chorégraphie et mise en scène Nina Vallon
Avec Margaux Amoros (La Conteuse), Arielle Chauvel-Levy (La Tueuse), Marine Colard (La Sorcière), Yasminee Lepe (La Plieuse), Nina Vallon (La Listeuse)
Lumières Françoise Michel
Création sonore, live DJ set Marine Colard
Costumes Aude Désigaux
Scénographie Margaux Hocquard
Recherche iconographique, croquis Pauline Zenk
Assistante chorégraphe, Flora Rogeboz / Consultante scénario, Adeline Fontaine
Chargé.e.s de production Perrine Brudieu et Guillaume Fernel
Textes Margaux Amoros, Arielle Chauvel-Levy, Marine Colard, Yasminee Lepe et Nina Vallon
Production As Soon As Possible.
Avec le soutien de la DRAC Ile-de-France et de la Région Île-de-France.
Coproduction : le Manège scène nationale – Reims, PARIS RESEAU DANSE (Atelier de Paris / Centre de développement chorégraphique, L’étoile du nord, Scène conventionnée d’intérêt national art et création pour la danse, Micadanses / ADDP, Le Regard du Cygne / AMD XXe) et Le G.R.P.
Soutien et accueil en résidence – Théâtre de Vanves / Scène conventionnée d’intérêt national « Art et création » pour la danse et les écritures contemporaines à travers les arts.
Avec le soutien de L’échangeur CDCN dans le cadre du dispositif Studio Libre, de la Ménagerie de Verre dans le cadre du studioLAB, de La POP, du Centre National de la Danse dans le cadre de l’accueil studio et de La Briqueterie CDCN du Val-de-Marne. Nina Vallon est accompagnée par la PARIS RESEAU DANSE, le dispositif Danse Dense pour l’émergence chorégraphique et est artiste compagnon au Manège scène nationale Reims.