Capucine Goust est diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon en 2008.
Elle rejoint Nasser Martin-Gousset pour une reprise de rôle dans Peplum en 2008, puis pour les créations Comedy, Pacifique (2010), Projet Renoir (2011), En attendant Godard (2013) et l’assiste sur Le Visiteur (2013) ainsi que sur la chorégraphie d’un long métrage de Paul Calori et Kostia Testut : Sur quel pied danser (Production Loin derrière L’oural, 2016)
Elle participe en 2009 à la création d’Olivier Dubois, Révolution, et à celle de Kader Attou, Symfonia Piesni Zalosnych, en 2010.
Elle danse également pour Karine Saporta, L’enfance ou les plages du temps (2009), Joëlle Bouvier, Fragment (2011), Christine Erbé, Ze Bal (2012), Amine Boussa, Mouvance (2012), Thomas Bouvet, L’humanité (2014),
Elle danse dans plusieurs opéras à l’Opéra de Lyon : Les 7 péchés capitaux de Kurt Weil, chorégraphie Marie Chouinard, mise en scène François Girard (2008) et La chauve souris de Johann Strauss, chorégraphie Niclas Bendixen, mise en scène Peter Langdal (2009) ; ainsi qu’à l’Opéra Garnier : Eliogabalo de Francesco Cavalli, mise en scène Thomas Jolly, chorégraphie Maud Le Pladec (2016).
En 2011, elle rencontre le Kathakali lors de la création, en Inde, du duo Le livre de l’Amour mis en scène par Julien Touati.
L’année suivante, pour la Biennale de la danse de Lyon, elle fait une reprise de rôle dans Foudres de Dave Saint Pierre (2012).
En 2014, elle rejoint le L.A. Dance Project de Benjamin Millepied pour une reprise de rôle dans Heart and Arroes, présenté à la Biennale de Lyon, ainsi que pour la cérémonie d’ouverture du Festival de Cannes (2015).
Actuellement, et depuis 2012, elle danse pour Catherine Diverrès : Penthésilées (2013), Solides (2014), Blow the Bloody Doors Off (2016).
Elle développe depuis 2012 sa propre démarche chorégraphique à travers sa compagnie basée dans le Morbihan